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EUR/USD – Rien ne sert de courir…
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...après un rebond de court terme dans une tendance baissière.
Dans notre analyse hebdomadaire, nous escomptions une réaction épidermique au-dessous des 1.23 USD, celle-ci a eu lieu. Faut-il pour autant se placer à l’achat dès maintenant, nous ne le pensons pas. L’heure est à l’attentisme, à la prudence et à la détermination d’un point d’entrée optimum.
Nombreux sont les opérateurs qui se demandent pourquoi l’Euro a rebondit de façon aussi brutale. Après une baisse de près de 3000 pips, des hedges funds sont susceptibles de matérialiser des bénéfices, parallèlement à cela circulent des rumeurs sur des interventions directes de banques centrales sur l’Euro notamment la BNS banque nationale suisse mais aussi la BCE banque centrale européenne. Enfin, mercredi, un « short squeeze » a eu lieu c'est-à-dire que les vendeurs ayant profité de la dernière vague baissière ont du se racheter dans la précipitation créant ainsi un courant acheteur puissant.
Toutefois, rappelons-le, nous sommes ici dans le cadre d’un rebond technique. Dans ce type de configuration il vaut mieux ouvrir des positions à l’achat sur des supports plutôt que d’acheter des accélérations ou encore mieux ne rien faire et attendre une stabilisation.
Graphique journalier
En données journalières, la tendance est baissière et les cours coiffés par la moyenne mobile exponentielle à 16 séances qui bloque la paire EUR/USD depuis plus d’un mois. Point positif pour les acheteurs offensifs, un phénomène d’action réaction a eu lieu sur les 1.21 USD et les indicateurs techniques opèrent un retournement. A la hausse la résistance est située à 1.2671 USD, à la baisse on retrouve les 1.244 USD puis les plus bas annuels.
En d’autres termes et étant donné la volatilité et le fait que nous sommes la veille du week-end, nous restons pour le moment à l’écart. Un dépassement des 1.267 USD pourrait certes engendrer le ralliement des 1.278 USD mais rien n’est moins sûr. Nous préférons attendre un éventuel pullback afin de confirmer la véracité de la reprise et le retour des acheteurs.
Publié le 21 Mai 2010 - 11h34
Dans notre analyse hebdomadaire, nous escomptions une réaction épidermique au-dessous des 1.23 USD, celle-ci a eu lieu. Faut-il pour autant se placer à l’achat dès maintenant, nous ne le pensons pas. L’heure est à l’attentisme, à la prudence et à la détermination d’un point d’entrée optimum.
Nombreux sont les opérateurs qui se demandent pourquoi l’Euro a rebondit de façon aussi brutale. Après une baisse de près de 3000 pips, des hedges funds sont susceptibles de matérialiser des bénéfices, parallèlement à cela circulent des rumeurs sur des interventions directes de banques centrales sur l’Euro notamment la BNS banque nationale suisse mais aussi la BCE banque centrale européenne. Enfin, mercredi, un « short squeeze » a eu lieu c'est-à-dire que les vendeurs ayant profité de la dernière vague baissière ont du se racheter dans la précipitation créant ainsi un courant acheteur puissant.
Toutefois, rappelons-le, nous sommes ici dans le cadre d’un rebond technique. Dans ce type de configuration il vaut mieux ouvrir des positions à l’achat sur des supports plutôt que d’acheter des accélérations ou encore mieux ne rien faire et attendre une stabilisation.
Graphique journalier
En données journalières, la tendance est baissière et les cours coiffés par la moyenne mobile exponentielle à 16 séances qui bloque la paire EUR/USD depuis plus d’un mois. Point positif pour les acheteurs offensifs, un phénomène d’action réaction a eu lieu sur les 1.21 USD et les indicateurs techniques opèrent un retournement. A la hausse la résistance est située à 1.2671 USD, à la baisse on retrouve les 1.244 USD puis les plus bas annuels.
En d’autres termes et étant donné la volatilité et le fait que nous sommes la veille du week-end, nous restons pour le moment à l’écart. Un dépassement des 1.267 USD pourrait certes engendrer le ralliement des 1.278 USD mais rien n’est moins sûr. Nous préférons attendre un éventuel pullback afin de confirmer la véracité de la reprise et le retour des acheteurs.
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