Une orientation résolument « risk-on »
La construction du portefeuille illustre un profil résolument offensif : 90 % investi en actions contre seulement 10 % en liquidités. Ce choix traduit la volonté de capter le potentiel de croissance des marchés boursiers, tout en assumant une prise de risque plus élevée qu’une allocation prudente.
L’accent mis sur le secteur industriel renforce ce positionnement. Ces groupes ne sont pas seulement des locomotives économiques : ils incarnent également la résilience et la capacité d’adaptation de l’industrie française face à des cycles mondiaux complexes. Le pari est clair : dans un contexte marqué par la reprise post-pandémie, la transition énergétique et des tensions géopolitiques persistantes, ces entreprises disposent d’un avantage compétitif solide.